Synopsis

1968 - Etats-Unis. Martin Luther King est assassiné et les haines raciales mettent le pays à feu et à sang. Romain Gary et sa femme l’actrice Jean Seberg, qui vivent à Los Angeles, recueillent un chien égaré, dressé exclusivement pour attaquer les Noirs : un chien blanc. L'écrivain, amoureux des animaux, refuse de le faire euthanasier, au risque de mettre en péril sa relation avec Jean, militante pour les droits civiques et très active au sein des Black Panthers.

  • Chien blanc fait partie de ces œuvres qui marquent les esprits. Sur ce plan, Anaïs Barbeau-Lavalette a parfaitement atteint le but qu’elle s’était fixé. Son film suscitera assurément des discussions intéressantes. La Presse
  • Le pouvoir de la réalisatrice, aussi puissant que mesuré, réside dans la retenue, dans les petites merveilles que capte sa caméra — qui s’attarde sur un rayon de soleil, la toile d’une araignée, l’éclosion d’une fleur, comme un rappel que quelque chose de beau survit à toute cette haine. Il se manifeste aussi dans l’amour, un amour qu’on insuffle à ce qui est le plus près de nous : nos enfants et la famille que l’on se choisit, qui nous ancrent dans le monde et nous inscrivent ainsi activement dans sa suite. Le Devoir
  • C’est un sujet extrêmement délicat auquel s’est attaquée la cinéaste Anaïs Barbeau-Lavalette dans son nouveau film, Chien blanc, une adaptation du roman autobiographique de Romain Gary, inspiré de son expérience aux États-Unis, pendant les émeutes raciales de 1968. Mais elle a réussi à le faire avec beaucoup de sensibilité, signant une œuvre audacieuse qui suscite la réflexion. Le Journal de Montréal

Réalisation

De Anaïs Barbeau-Lavalette

Distribution

Avec Denis Ménochet, Kacey Rohl, K.C. Collins, Peter Bryant, Jhaleil Swaby...

Année : 2024

Durée : 1h 36min | Drame

Nationalité :  Canada

Titre original : 

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