JOLI, JOLI

Tout public

De Paris à Rome dans les années 70, le destin d’un écrivain fauché percute celui d’une star montante du cinéma. Leur chemin vers l’amour sera semé d’embuches, de quiproquos et de rebondissements. Une comédie musicale et tourbillonnante !

• 1977, année cruciale, transitoire, matricielle, tout ce qui nous éloigne et tout ce qui nous attache à cette année pas du tout arbitrairement choisie, où triomphent à la fois le disco et le punk, c’est le sujet de Diastème (qui avait une dizaine d’années en 1977). Avec un soin amoureux, le film travaille la texture, la chromie de l’époque, en restitue le charme orangé et ouaté. Mais en désigne aussi la brutalité archaïque et ses impensés discriminatoires. À travers un gracieux ballet amoureux dans l’univers du cinéma, un peu à la manière de certaines séries de Ryan Murphy (Hollywood…), Joli joli retouche et réforme son monde de référence pour le rendre plus inclusif, et joint à la nostalgie une bonne dose d’utopie.. Les Inrockuptibles
• D’humeur nostalgique, Diastème convoque l’esprit de Jacques Demy à travers Joli Joli, opérette synonyme d’exercice de style bercée par les mélodies d’amour composées par Alex Beaupain. Sortie de film
• Qui a dit que la comédie musicale était un genre américain ? Avec "Joli joli" Diastème renoue avec l'opérette, ce genre typiquement français qui dominait le cinéma français dans les années 30, avec réussite. Franceinfo Culture
• Les comédies musicales en France se font rares, et voilà que surgit de l’hiver 2024 « Joli, joli », un long-métrage du genre signé de l’auteur-compositeur-réalisateur Diastème. Au cœur de cette comédie musicale, une histoire d’amour entre une star montante du cinéma, interprétée par la chanteuse Clara Luciani et un écrivain fauché, incarné par l’acteur William Lebghil. Un duo étonnant, tendre et émouvant qui donne envie d’aimer ! Cinemaxx